J'ai reçu ce guide par courriel qui est une étude auprès de plus de 5,000 photographes sur 46 questions qui fréquentent Photoshelter. Voici le résultat de l'étude:
Sondage intéressant dont les réponses aux questions affichent des pourcentages qui me semblent effectivement très près des préoccupations quotidiennes d'un photographe. De plus, dans le doute, cela nous donne de bon indices sur les tendances les plus populaires.
Merci d'avoir partagé richardj7
Merci richardj7! L'information que tu partages est toujours intréssante & instructive!
wow 31% de client recurrent, ca fait gros de job de terrain pour avoir des contrat ça...
Bonjour Richard ! Merci de ces infos intéressantes ....
Ce qui retient mon attention ( bien que n'étant pas du tout professionnel ) est le fait que 60% des revenus viennent des mandats commerciaux, que les défis sont de trouver de nouveaux clients, mais que le plus utilisé des moyens de promouvoir leur activité est Facebook !! Or on sait que les mandats commerciaux se gagnent rarement avec Facebook, et je ne vois que 26% des professionnels qui pensent à faire des offres services et négocier des ententes !
Dois je en conclure que beaucoup font leur représentations à la mauvaise porte ? Ou se contentent d'un compte Facebook et advienne que pourra en se fiant au fruit du hasard ?
Ou que plusieurs , bien que professionnels de métier, ne sont pas des hommes d,affaire sachant promouvoir leur produit ? Ou suis-je dans le champs ?
J'ai 2 828 « amies et amis » sur Facebook. J'ai bâti ça lentement mais sûrement en me faisant punir par Facebook de temps en temps pour raison de trop grande sollicitation à la fois. Je n'ai pas encore exploité ma banque qui comprend plusieurs modèles, maquilleuses/coiffeuses. Je vais l'exploiter pour deux raisons principales - la photo Boudoir/Glamour en premier et le mariage en deuxième. J'attends de monter mon portfolio Boudoir/Glamour d'ici le printemps pour ensuite élaborer une mise en marché pour recruter des clientes. Je dirais que 90 % des filles/femmes qui s'y trouvent veulent se faire photographier gratuitement. Je me contenterais de 5 % - 10 % qui veulent avoir quelque chose de professionnel et payer pour.
Il y a plusieurs photographes de renommées qui sont sur Facebook: Jerry Ghionis (mariage) qui promeut aussi son site « I.C.E. Society » où l'abonnement est de $365 USD par année - moins les promotions de -10 %, Bob Davis (mariage) vend ses DVD et ateliers, Michael Thompson (lightenupandshoot) qui vend des « tag along » où les clients payent autour de $1,000 USD pour se promener avec Michael en Colombie ou autres lieux pour photographier advienne que pourra. Yervant (mariage) et ses plug-ins d'album de mariage, Stobist.com (des talents extraordinaires), Boudoir Divas (photos Boudoir), Sue Bryce (Glamour), Robin Owen (Boudoir) ainsi que le groupe « Boudoir Photographers ». On retrouve plusieurs magazines de mode et autres qui doivent regarder les « fashion photographers » pour trouver des talents. Malgré que les photographes commerciaux (produits, vêtements, etc.) vivent dans un monde assez fermé, je suspecte que de s'exposer sur Facebook doit servir à quelques-uns.
Sous « commercial photography » on retrouve un tas de photographes qui s'affichent. La raison ? Plusieurs vendent des ateliers, des DVD, des souscriptions en plus de recruter des clients pour services photographiques. Et ça fonctionne si on lit les commentaires. Eh oui, ils sont des hommes et femmes d'affaires bien organisés.
Bref, les photographes les plus connus sur la planète ont leur Facebook. Et, comme vous savez, de plus en plus d'entreprises ont décidé d'avoir une page Facebook pour mieux se faire connaître par les millions d'adeptes de Facebook.
On n'aime ou n'aime pas Facebook, mais reste que c'est une platte forme qui contient énormément de monde. Même si c'est une approche de type « shotgun », il risque d'y avoir quelques plombs qui trouvent leur cible.
Il y a aussi le phénomène de « creativelive.com » où plusieurs photographes donnent des ateliers sur toutes sortes de sujets, incluant Photoshop, Lightroom, le portrait, le mariage, la vidéo, la photo de mode, la photo de studio et des douzaines d'autres sujets très intéressants. Durant l'atelier, on peut visionner le tout gratuitement en direct si on a la patience de le faire. Sinon, on peut acheter à rabais, autour de $99 USD durant l'atelier - les trois jours d'atelier ou l'acheter plus tard de $149 USD à $249 USD. Je suis sûr qu'avec les milliers d'auditeurs, ils doivent faire une fortune. J'en ai acheté 6 à date. Sue Bryce, en particulier y retourne souvent et avec raison. Probablement plus payant que de faire des séances de photos individuelles.
D'ailleurs, j'ai déjà acheté un atelier de creativelive qui indique comment utiliser les réseaux sociaux. Comme la photographie commerciale n'est pas ma source principale de revenus, je manque de temps pour l'exploiter à fond.
Je m'aperçois qu'il y a un manque flagrant d'information au sujet des outils de mise en marché et de promotion pour la plupart des photographes commerciaux et ceux qui veulent le devenir. Il y a beaucoup d'énergie consacrée à discuter de l'équipement, très peu sur comment poser les clients et surtout comment les trouver, les solliciter, se vendre et vendre les produits par les techniques de négociation, puis faire les suivis pour multiplier les ventes et obtenir des références. On dirait que l'art a souvent de la difficulté à se marier avec les affaires...
Bien d'accord avec ton commentaire Denjo2000. Un autre point que je remarque, seulement 40% mettent de l'emphase sur le référencement alors qu'un site web sans bon référencement demeure dans l'ombre avec les milliers d'autres. C'est bien d'être présent sur Facebook, c'est une fenêtre de plus qui permet de s'afficher et même d'y ramasser quelques clients mais, ça a ses limites. En tant que consommateur qui cherche un photographe dans sa région, un site web bien construit et bien référencé peut être drôlement rentable. Comme tu le mentionnes, un photographe professionnel se doit aussi d'être un homme d'affaire averti, sachant promouvoir ses produits en travaillant sur tout les fronts.